C’est comme les lunettes, ce n’est pas une question de vieillesse

Anne-Marie est cliente depuis 2012, dès les premiers signes d’une perte d’audition :
« Ma mère était pratiquement sourde et ne voulait pas s’équiper. On devait échanger en écrivant sur une ardoise magique. Je m’étais dit que jamais je n’infligerais ça à mes enfants. Alors, dès qu’on m’a conseillé de m’appareiller, je n’ai pas hésité. »

Et, elle ne regrette pas son choix :
« J’ai accepté les appareils tout de suite. Personne ne se rend compte que je suis appareillée. Je ne les sens pas. Je les oublie complètement et ça me permet de suivre les conversations. C’est comme les lunettes, ce n’est pas une question de vieillesse. Je ne me sens pas plus vieille qu’une autre et j’entends parfaitement. »
Elle a déjà testé plusieurs technologies :
« Je suis passée à des appareils sans pile. C’est un vrai confort supplémentaire. »

Pour entretenir ses appareils, elle peut compter sur l’équipe d’Acoustique Wernert :
« L’accueil est très agréable. C’est un plaisir de s’arrêter. Chaque fois que j’ai un problème, je passe et je sais que je serai bien accueillie. »

Anne-Marie J.

Si j’ai un mot qui revient, c’est magique

Anne Charmeau témoigne de l’apport de l’appareillage pour son fils Hugo.
Hugo est né avec une malformation de l’oreille, le syndrome de Goldenhar. Il n’a pas de tympan à une oreille. Cela demande un appareillage spécifique qui n’était pas disponible sur le marché français. Pour l’appareiller, il a donc fallu attendre novembre 2017.

Hugo allait avoir quatre ans.
L’ORL nous a conseillé Acoustique Wernert parce que Pascal Rialhon est un audioprothésiste spécialiste de l’enfant. Et ça a beaucoup compté. Il a su s’y prendre avec Hugo. Il est pédagogue et ça a beaucoup joué dans l’acceptation de l’appareil.

Avec l’appareil on a vu une vraie différence.
Ce n’est plus le même petit garçon. A l’école il était très vite fatigué. Il devait faire de gros efforts de concentration. Avec l’appareil c’est magique. Il a gagné 40 décibels, ce qui est énorme. Résultat, il s’est ouvert. Il communique plus et participe à tout. Il a beaucoup progressé sur le langage. Si j’ai un mot qui revient, c’est magique. Et le bénéfice est pour tout le monde. Maintenant on peut regarder un film ou écouter de la musique ensemble. Ça joue sur notre vie de famille, sa vie sociale et scolaire.

On vient deux à trois fois par an pour l’entretien.
Et ce qui est appréciable avec Wernert c’est qu’il y a un côté très humain et une proximité. Quand on téléphone, la personne qui décroche connait notre dossier, ils connaissent Hugo. On n’a pas besoin de tout réexpliquer. Il y a aussi un côté pratique. On habite la Plaine du Forez, et pour du matériel, on peut aller récupérer ce qu’il nous faut au centre Acoustique Wernert le plus près de chez nous.

Anne Charmeau